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Une histoire de virus: je suis « ba-la-de »!

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Il y a trois semaines, j’ai attrapé un rhume. J’ai pris de la «tisane Rhume 911», des pastilles, j’ai mis du «Vick’s» (en fait, j’en utilise presque toujours, ça a un effet apaisant sur ma petite personne), j’ai fait du «Sinus Rinse» (foule dégueux, mais vraiment efficace, vous connaissez?) en me disant, il n’y a rien d’autre à faire, il faut attendre que le virus passe.

Ça ne passait pas.

J’ai commencé à avoir mal partout, je me suis massée avec de «l’Anthiphlogestine», j’ai pris des bains chauds avec du sel d’espom à l’eucalyptus.

Ça ne passait pas.

J’ai commencé à avoir mal au coeur, trop de sécrétions je présume, j’ai pris des pastilles de gingembre Gravol, en finissant  toutes les boîtes de papier mouchoir de la maison.

Je donnais une conférence sur la dyspraxie au Colloque de l’AQEP à Drummondville et jusqu’au matin, j’ai failli annuler, trop malade. Je sais, avec mes joues et mon sourire, ça ne paraît, mais je l’étais.

Ça ne passait pas.

J’ai été m’acheter des p’tites fusées (vous connaissez? C’est le nom sympathique que je donne aux suppositoires pour rhume, taux et congestion) et j’ai commencé à stresser, j’avais des conférences de prévues et j’avais besoin de toute ma voix et mon souffle pour faire une bonne job!

Ça ne passait pas.

J’ai commencé à manquer de souffle et je me suis rappelée que mes rhumes finissent presque toujours avec des pompes, je suis asthmatique parfois. Je me suis achetée de nouvelle pompes.
Ça ne passait pas.

J’ai continué quelques jours en mettant toujours en pratique mes trucs nommés plus haut, dans l’ordre, dans le désordre, etc

Ça ne passait pas.
 Dans cette vidéo, on entend bien mon rire qui n’est pas comme d’habitude!

 J’ai essayé de prendre un rendez-vous dans une clinique, c’était plein partout, je me suis inscrite à une liste de rappelle de Bonjour Santé, mais chaque fois que j’avais une alerte, même si j’étais plus rapide que l’éclaire, je n’arrivais pas à avoir de rendez-vous. Je me suis dit, tant pis, ça va passer.

Ça ne passait pas.

Le lendemain, ça n’allait pas et quand je dormais, ça roulait dans mes poumons ou encore, je me réveillais en toussant, comme si tout d’un coup, je manquais d’air.  Pas jojo pour celui qui partage ma couche. J’ai réussi à avoir une place en pm, à Montréal. Avant de confirmer, j’ai vérifié qu’il avait un service de radiographie sur place, ouvert le dimanche.

Ça ne passait pas.

Je suis arrivée en avance et on m’a fortement suggérée de mettre  un masque et d’aller attendre…ailleurs (charmant, je sais). Je suis revenue 15 min en avant mon rendez-vou et là, j’ai attendu, attendu puis attendu encore.

Ça ne passait pas.

Vers 17h00, le radiologiste est parti. Je commençais à me dire que je perdais vraiment mon temps. J’ai vu le doc vers 18h30, je suis partie vers 19h00 avec des prescriptions pour des médicaments et des radiographies à faire dans mon coin.

Ça ne passait pas.

J’ai arrêté à une ma pharmacie, mais elle était fermée, j’ai donc été dans une autre ville et je suis revenue épuisée, vers 21h00, en me disant qu’au moins, j’avais tout pour aller mieux. Je me suis couchée épuisée.

Ça ne passait pas.

J’ai fait ma journée du lundi en allant faire les radiographies et j’ai continué d’espérer d’aller mieux. Me disant que j’avais vu un professionnel, que je faisais tout en mon possible pour aller mieux (sauf peut-être me reposer, mais dormir et tousser ne font pas bon ménage).


J’ai réussi à donner ma 2e conférence, mais encore là, j’étais limite.

Ça ne passait pas.

Le mardi matin, j’avais une rencontre de travail et ma collègue m’a encouragée à prendre un nouveau rendez-vous à ma clinique médicale. J’en ai eu un à 10h50. C’était Noël pendant quelques instants. J’ai quitté pour mon rv avec des quintes de toux incroyable, mouchant, reniflant, crachant, m’étouffant.

Il faut que ça passe.

J’ai mis un masque et je suis allée attendre dans un coin isolé. J’ai commencé à moins tousser. J’ai rencontré mon docteur pour la première fois (j’ai une super infirmière dans un GMF), elle m’a demandé de lui raconter TOUT depuis le début. Ceux qui me connaissent le savent, des fois, mes histoires sont longggguueess! Alors, j’ai essayé de couper et un peu et chaque fois, elle me reprenait pour avoir tous les détails.

Ma conclusion, c’est le temps de ralentir

Il faut que ça passe.

Je suis partie avec une confirmation que je faisais une sinusite, que mon asthme était mal contrôlé, que j’avais peut-être un truc au poumon/bronches, on attendrait les résultats des radios, mais de toute façon, je partais avec une prescription d’antibiotiques pour 10 jours, etc.

Il faut que ça passe.

J’ai recommencé à dormir la nuit. Par contre, en trois jours, j’ai réussi à tomber de façon assez spectaculaire chaque fois. Peut-être que mon équilibre s’est noyée dans le mucus? Que je suis trop fatiguée? Je vais un peu mieux quand même, mais, après tout ce temps, je ne peux pas dire que ça a passé.

Je suis encore malade, j’ai hâte que ça passe.

Et vous? Quels sont vos trucs pour que ça passe?

Ce billet est présenté par Church & Dwight, mais vous l’aurez compris, mes opinions et mes photos m’appartiennent et comme toujours, je suis 100% authentique (et cette fois-ci, malade!).

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